Les luttes bouillonnent ! Débordons-les pour gagner !
Oui au choc des moyens des services publics (salaires, postes, conditions de travail…) ;
Non aux chocs austéritaires et « des savoirs » dans l’Éduc !
…Luttes en cours à investir pour gagner :
Prochains RDV : Réunions publiques locales dans tout le département à retrouver ICI !
Luttes réalisées à cultiver :
Le 25 mai, la FSU, avec les personnels, parents d’élèves, élu·es et citoyens, poursuit partout la mobilisation contre le « choc des savoirs » et pour un choc des moyens de l’École publique ! On continue ensemble avec les réunions publiques locales et dans les établissements !
Le 6 mai, à l’initiative de la FSU et de ses syndicats de l’Éducation, le plan d’actions, locales et nationales, intersyndical a été lancé pour le retrait du choc des savoirs ainsi que des hausses des moyens et des salaires !
Le 2 avril, pour que vive l’École publique émancipatrice et démocratique pour l’ensemble des élèves, partout, les personnels poursuivent les nombreuses mobilisations pour être reconnu·es dans leurs salaires et métiers !
Le 26 mars, les retraité·es ont montré leur force en manifestation pour une revalorisation des pensions et des retraites, des services publics renforcés et une sécurité sociale confortée au service de la population !
Le 22 mars, la quasi-majorité des assistantes sociales du département et de l’académie ont pu compter sur le SNUAS-FP et la FSU pour participer à la manif nationale historique à Paris de ce jour pour de nettes améliorations salariales et des conditions de travail !
Le 19 mars, pour des agent·es revalorisés et des services publics avec des moyens humains et matériels, la FSU et l’Intersyndicale restaient mobilisées !
Le 8 mars, journée internationale de luttes pour les droits des femmes, la FSU a été motrice dans le large collectif féministe nancéen, pour rappeler, dans les rues de Nancy, l’exigence de l’égalité femmes-hommes !
Le 5 février, après avoir lu une déclaration exposant ses revendications, la FSU a quitté le CDEN en Préfecture qui a acté les suppressions de postes du 1er degré dans le département. FO a aussi refusé de siéger laissant l’UNSA et le SGEN-CFDT avec l’administration.